Les deux auteurs, l'un musulman, l'autre prêtre catholique, racontent leur cheminement dans leur foi respective et comment ils en sont venus à connaître et à respecter la religion de l'autre; ils sont favorables au dialogue entre chrétiens et musulmans.
Dans un dialogue épistolaire fictif entre un père et sa fille partie faire le djihad, l'auteur, de confession musulmane, s'interroge sur les motivations qui poussent des jeunes gens à tuer au nom de Dieu. Après les attentats parisiens de 2015, en proie à la douleur et à l'incompréhension, il questionne la modernité et l'archaïsme, la barbarie et la civilisation, etc.
Chaque fois qu'elle a besoin d'apaisement, la mère du narrateur, ne sachant pas lire, lui demande de lui faire la lecture du roman La peau de chagrin, de Balzac. A travers cet ouvrage, ce dernier prend conscience de la puissance de la littérature.
Une lecture historique, sociologique, à la fois humoristique et sérieuse, du Coran, décortiqué à la lumière des sciences humaines, apportant des réponses à diverses questions : ce qu'est un mécréant, le port du voile, ce qui est dit des Juifs, la violence...
Le Coran expliqué en quelques questions essentielles et par une comparaison avec les révélations juives et chrétiennes : les aspects historiques, le Coran et la Bible, le prophète Muhammad, le Dieu des musulmans, la transmission de l'islam et le rôle de la langue arabe.